chapitre 3,
La sixième sera encore pire que tout. Mes dents s'étaient déformées durant les années. Hassan, un mec de trois mètre de haut, fais le malin et m'insulte de lapin. Dans les couloirs, tout le monde a commencer a montrer ses dents et à rire dès qu'ils me voyaient... Le soir, je vais prendre ma douche, et avant d'entre dans la baingoire, je me vois dans le miroir, et je tombe tellement je pleurait. J'étais moche. J'étais moche, seule, maigre, des dents encore pire, je craquais... Léa et Cécile, des amies de ce1 qui m'avaient ignorer pendant ces années dures sauf Cécile qui étais là pour moi mais elle ne pouvait pas beaucoup on étais pas dans la même classe... Enfin bref. Elles ont commencer à me parler, on a ris, elle étaient gentilles. Je rencontre aussi Mathilde, une bonne amie, qui m'invite à dormir. C'étais la première fois que j'allais dormir chez quelqu'un. On a pas arrêter de rigoler, de parler, etc... C'étais ma meilleure amie. Je lui ai offert plein de choses, une tee- shirt, un bracelet, etc...
En 5e, j'étais dans la même classe que Cécile, on devient meilleures amies on ne c'est jamais séparées. Mon père m'annonce vers octobre qu'il m'enmènne au Parc Astérix avec Mathilde. Cécile et Mathilde ne s'aimaient pas et toute les filles de ma classe avec qui je m'entendais bien me disais de ne pas la fréquenter, mais je ne les écoutaient pas.
À la compétition d'aérobic, Mathilde me faisait la geule. Margot, innocente, viens me chercher, en disant " Mathilde veux te parler elle t'attends dehors ". Je vais dehors avec Cécile un peu derrière moi. Puis cette scène a durer peut être quelques secondes, mais je m'en souviendrais pendant des mois. A peine sortie, plein de filles m'aspèrgent d'eau, y compris mathilde. Je ne mais pas de majuscules au noms qui ne les méritent pas... Je pars en courant dans les toilettes, pleurant, et dans le toilettes, je me présipite sur le lavabo, et commence à pleurer, pleurer, même si il y a une énorme queue qui me fixait pleurer, je m'en fichais, mon maquillage de spestacle coulais, je m'en fiche. Tout ce que je voulais c'était pleurer tranquille... C'est tout. Mais je tiens à remercier tout ces connards, tout ces connards qui m'ont fais pleurer, car maintenant je me suis relever, et je suis devenue plus forte, maintenant je ne vais plus me laisser faire j'en ai marre.
Merci d'avoir lu,
- moi
Commentaires
merci de ce commentaire, il me touche beaucoup
Bonjour
J'ai lu tes deux derniers articles. Ce genre de personnes ne mérite même pas qu'on leur donne de l'importance. Comme tu le dis à la fin du dernier article, cela t'a rendu plus forte et il ne faut pas se laisser faire.